Titre : | Une Ténébreuse affaire | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Honoré de Balzac (1799-1850) , Auteur ; René Guise, Editeur scientifique | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 1973 | Collection : | Folio classique num. 468 | Importance : | 378 p. | Présentation : | couv ill en coul | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-036468-8 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | R Roman | Résumé : | Le cadre est celui, en province, sous le Consulat et sous l'Empire (1803-1806), de « la vieille comté de Champagne », à la conclusion près, qui se situe à Paris, sous la Monarchie de Juillet. Il faut compter aussi avec l'épisode dit du « bivouac d'Iéna » (13 octobre 1806, veille de la bataille). La disposition, en trois longs chapitres, privilégie l'enquête conduite par Corentin et son acolyte Peyrade, agents du ministre Fouché. Ils échouent, en 1803, dans leurs investigations au château de Gondreville, et dans la poursuite des jumeaux de Simeuse et de leurs cousins d'Hauteserre, revenus de l'armée des Princes pour participer à la conspiration de l'an XII. Les quatre cousins sont sauvés par Laurence de Cinq-Cygne, grâce à Michu, ancien garde des Simeuse à Gondreville. Tels sont – chapitre I – « Les chagrins de la police ». Trois ans plus tard, Corentin prend sa revanche en organisant l'enlèvement du nouveau maître de Gondreville, l'ancien conventionnel « Malin de l'Aube ». Il en fait accuser les quatre cousins et Michu. C'est – chapitre II – « La revanche de Corentin ». Michu est condamné à mort et les quatre cousins aux travaux forcés (chapitre III : « Un procès politique sous l'Empire »). Mademoiselle de Cinq-Cygne fait le voyage d'Iéna pour solliciter de Napoléon la grâce des condamnés. Elle obtient celle des quatre cousins. Michu est exécuté (gracié dans un premier état du roman). Les jumeaux de Simeuse et l'aîné des frères d'Hauteserre sont tués à la guerre. Mlle de Cinq-Cygne épousera le cadet, Adrien, devenu général. La « conclusion » – où se retrouvent les premières pages écrites du roman, encadrées dans une scène de conversation, vers 1833, chez la princesse de Cadignan – nous vaut, par le truchement de de Marsay, le secret de toute l'« affaire ». |
Une Ténébreuse affaire [texte imprimé] / Honoré de Balzac (1799-1850) , Auteur ; René Guise, Editeur scientifique . - Gallimard, 1973 . - 378 p. : couv ill en coul ; 18 cm. - ( Folio classique; 468) . ISBN : 978-2-07-036468-8 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | R Roman | Résumé : | Le cadre est celui, en province, sous le Consulat et sous l'Empire (1803-1806), de « la vieille comté de Champagne », à la conclusion près, qui se situe à Paris, sous la Monarchie de Juillet. Il faut compter aussi avec l'épisode dit du « bivouac d'Iéna » (13 octobre 1806, veille de la bataille). La disposition, en trois longs chapitres, privilégie l'enquête conduite par Corentin et son acolyte Peyrade, agents du ministre Fouché. Ils échouent, en 1803, dans leurs investigations au château de Gondreville, et dans la poursuite des jumeaux de Simeuse et de leurs cousins d'Hauteserre, revenus de l'armée des Princes pour participer à la conspiration de l'an XII. Les quatre cousins sont sauvés par Laurence de Cinq-Cygne, grâce à Michu, ancien garde des Simeuse à Gondreville. Tels sont – chapitre I – « Les chagrins de la police ». Trois ans plus tard, Corentin prend sa revanche en organisant l'enlèvement du nouveau maître de Gondreville, l'ancien conventionnel « Malin de l'Aube ». Il en fait accuser les quatre cousins et Michu. C'est – chapitre II – « La revanche de Corentin ». Michu est condamné à mort et les quatre cousins aux travaux forcés (chapitre III : « Un procès politique sous l'Empire »). Mademoiselle de Cinq-Cygne fait le voyage d'Iéna pour solliciter de Napoléon la grâce des condamnés. Elle obtient celle des quatre cousins. Michu est exécuté (gracié dans un premier état du roman). Les jumeaux de Simeuse et l'aîné des frères d'Hauteserre sont tués à la guerre. Mlle de Cinq-Cygne épousera le cadet, Adrien, devenu général. La « conclusion » – où se retrouvent les premières pages écrites du roman, encadrées dans une scène de conversation, vers 1833, chez la princesse de Cadignan – nous vaut, par le truchement de de Marsay, le secret de toute l'« affaire ». |
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