Titre : | Entre ciel et mer, l'île | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-François SamLong, Auteur | Editeur : | Vénissieux : Paroles d'Aube | Année de publication : | 1993 | Importance : | 92 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 21 x 10 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-909096-19-3 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Littérature réunionnaise La Réunion (île de) Océan Indien | Index. décimale : | 896 Littératures africaines (y compris Madagascar et Océan Indien) | Résumé : | D’une terre à l’autre les chemins sont nombreux. On a beau choisir le sien, il passe toujours par ce lieu que vous évoquez. Cette terre perdue au-dessus de quelque cirque invisible que nul cours d’eau ne pourra jamais mettre au jour. Et si nos paroles s’entêtent à jeter un pont sur une rivière au parcours incertain, c’est que nous n’avons pas d’autre chemin. Jean-Pierre Spilmont. L’aube c’est l’instant où se lève la parole — et avec elle toute lumière. Dehors il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent avec cette voix qui n’est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l’écriture, avec cette voix faible — courante sous la cendre, tremblante sous la page. |
Entre ciel et mer, l'île [texte imprimé] / Jean-François SamLong, Auteur . - Vénissieux : Paroles d'Aube, 1993 . - 92 p. : couv. ill. en coul. ; 21 x 10 cm. ISBN : 978-2-909096-19-3 Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Littérature réunionnaise La Réunion (île de) Océan Indien | Index. décimale : | 896 Littératures africaines (y compris Madagascar et Océan Indien) | Résumé : | D’une terre à l’autre les chemins sont nombreux. On a beau choisir le sien, il passe toujours par ce lieu que vous évoquez. Cette terre perdue au-dessus de quelque cirque invisible que nul cours d’eau ne pourra jamais mettre au jour. Et si nos paroles s’entêtent à jeter un pont sur une rivière au parcours incertain, c’est que nous n’avons pas d’autre chemin. Jean-Pierre Spilmont. L’aube c’est l’instant où se lève la parole — et avec elle toute lumière. Dehors il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent avec cette voix qui n’est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l’écriture, avec cette voix faible — courante sous la cendre, tremblante sous la page. |
| |