Titre : | Pensées | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Marc Aurèle, Auteur ; Mario Meunier, Traducteur | Editeur : | Paris : Librio | Année de publication : | 2017 | Collection : | Librio num. 1078 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-290-15139-6 | Note générale : | Texte intégral | Langues : | Français (fre) Langues originales : Grec classique (grc) | Mots-clés : | Philosophie antique Stoïcisme | Index. décimale : | 188 Philosophie de l'Antiquité, du Moyen Ages, de l'Orient : Stoïcisme | Résumé : | "Les Pensées pour moi-même" souvent simplement intitulé Pensées est le titre d'une série de réflexions divisées en douze livres, rédigées en grec entre 170 et 180 par l'empereur Marc Aurèle qui régna de 161 à 180 apr. J.-C., et écrites au moins partiellement pendant ses campagnes militaires.
Les Pensées n'étaient au départ qu'un journal non destiné à être publié et révélé au public, mais devant être détruit à la mort de l'auteur. N'étant pas destinées à être lues par quiconque excepté l'auteur lui-même, le texte est adressé à Marc Aurèle lui-même.
L'empereur s'y fait de nombreux reproches, réexpose périodiquement les mêmes idées et se donne des exercices afin de ne pas céder aux multiples tentations et facilités auxquelles il est exposé et de persévérer dans la voie de la philosophie qu'il reconnaît comme la seule mesure de la valeur d'un homme. |
Pensées [texte imprimé] / Marc Aurèle, Auteur ; Mario Meunier, Traducteur . - Librio, 2017. - ( Librio; 1078) . ISBN : 978-2-290-15139-6 Texte intégral Langues : Français ( fre) Langues originales : Grec classique ( grc) Mots-clés : | Philosophie antique Stoïcisme | Index. décimale : | 188 Philosophie de l'Antiquité, du Moyen Ages, de l'Orient : Stoïcisme | Résumé : | "Les Pensées pour moi-même" souvent simplement intitulé Pensées est le titre d'une série de réflexions divisées en douze livres, rédigées en grec entre 170 et 180 par l'empereur Marc Aurèle qui régna de 161 à 180 apr. J.-C., et écrites au moins partiellement pendant ses campagnes militaires.
Les Pensées n'étaient au départ qu'un journal non destiné à être publié et révélé au public, mais devant être détruit à la mort de l'auteur. N'étant pas destinées à être lues par quiconque excepté l'auteur lui-même, le texte est adressé à Marc Aurèle lui-même.
L'empereur s'y fait de nombreux reproches, réexpose périodiquement les mêmes idées et se donne des exercices afin de ne pas céder aux multiples tentations et facilités auxquelles il est exposé et de persévérer dans la voie de la philosophie qu'il reconnaît comme la seule mesure de la valeur d'un homme. |
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