Titre : | Récits de la maison des morts | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski (1821-1881) , Auteur ; Pierre Pascal, Traducteur ; Michel Cadot, Préfacier, etc. ; Victoire Feuillebois, Collaborateur | Editeur : | Paris : Flammarion | Année de publication : | 2014 | Collection : | GF num. 337 | Importance : | 452 p. | Présentation : | couv. ill. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-08-130647-9 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Russe (rus) | Mots-clés : | Roman autobiographique | Index. décimale : | RE Roman étranger | Résumé : | En 1849, Dostoïevski est condamné au bagne pour ses idées. Déporté au sud-ouest de la Sibérie, dans la forteresse d’Omsk, où il passe cinq ans, il y côtoie des criminels et des hommes du peuple, des voleurs aussi bien que des condamnés politiques. De cette expérience douloureuse, où l’impossibilité d’être seul rivalise en cruauté avec les sévices et le travail forcé, l’auteur tire les Récits de la maison des morts. Dans ce roman largement autobiographique, qu’il fait passer pour des notes retrouvées chez un ancien forçat, Goriantchikov, Dostoïevski déploie une galerie de portraits où sont anticipés les personnages les plus marquants de ses œuvres majeures. Son humanisme et son sens de l’observation font de ces récits consacrés au système pénitentiaire du temps des tsars un témoignage de première importance sur l’expérience concentrationnaire. |
Récits de la maison des morts [texte imprimé] / Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski (1821-1881) , Auteur ; Pierre Pascal, Traducteur ; Michel Cadot, Préfacier, etc. ; Victoire Feuillebois, Collaborateur . - Flammarion, 2014 . - 452 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( GF; 337) . ISBN : 978-2-08-130647-9 Langues : Français ( fre) Langues originales : Russe ( rus) Mots-clés : | Roman autobiographique | Index. décimale : | RE Roman étranger | Résumé : | En 1849, Dostoïevski est condamné au bagne pour ses idées. Déporté au sud-ouest de la Sibérie, dans la forteresse d’Omsk, où il passe cinq ans, il y côtoie des criminels et des hommes du peuple, des voleurs aussi bien que des condamnés politiques. De cette expérience douloureuse, où l’impossibilité d’être seul rivalise en cruauté avec les sévices et le travail forcé, l’auteur tire les Récits de la maison des morts. Dans ce roman largement autobiographique, qu’il fait passer pour des notes retrouvées chez un ancien forçat, Goriantchikov, Dostoïevski déploie une galerie de portraits où sont anticipés les personnages les plus marquants de ses œuvres majeures. Son humanisme et son sens de l’observation font de ces récits consacrés au système pénitentiaire du temps des tsars un témoignage de première importance sur l’expérience concentrationnaire. |
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