Titre : | Rompre le charme | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Amanda Sthers, Auteur | Editeur : | Paris : Stock | Année de publication : | 2013 | Collection : | Le Livre de poche num. 33171 | Importance : | 123 p. | Présentation : | couv. ill. | Format : | 18 cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-17409-7 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | R Roman | Résumé : | Quand j’avais six ans, mon oncle Benoît s’est suicidé. Il était beau. Il était vivant et enfantin parce qu’il était fou aussi. Ma mère a épousé un psychiatre et celui-ci lui a donné trois enfants, mais a échoué à sauver son frère.
Juste après, ils ont divorcé et ma mère est morte aussi, morte à mes yeux : Viviane avait presque la même voix, le même visage, le même prénom, les mêmes gestes, mais cette dame qui s’occupait de nous n’était pas ma maman.
Je suis mère à mon tour, j’ai des enfants, l’âge de ma mère à cette époque, et mon frère a l’âge de Benoît. Depuis plus d’un an, Benoît hante mes rêves et me dit qu’il a froid.
À Madagascar, où ma mère a grandi, c’est le signe que le retournement des morts doit avoir lieu. Il faut sortir le cadavre de son tombeau et procéder à une série de rites afin de faire fuir ce qui n’est pas mort avec lui. Pour éviter que la malédiction s’abatte, que l’histoire se répète, pour rompre le charme. |
Rompre le charme [texte imprimé] / Amanda Sthers, Auteur . - Stock, 2013 . - 123 p. : couv. ill. ; 18 cm.. - ( Le Livre de poche; 33171) . ISBN : 978-2-253-17409-7 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | R Roman | Résumé : | Quand j’avais six ans, mon oncle Benoît s’est suicidé. Il était beau. Il était vivant et enfantin parce qu’il était fou aussi. Ma mère a épousé un psychiatre et celui-ci lui a donné trois enfants, mais a échoué à sauver son frère.
Juste après, ils ont divorcé et ma mère est morte aussi, morte à mes yeux : Viviane avait presque la même voix, le même visage, le même prénom, les mêmes gestes, mais cette dame qui s’occupait de nous n’était pas ma maman.
Je suis mère à mon tour, j’ai des enfants, l’âge de ma mère à cette époque, et mon frère a l’âge de Benoît. Depuis plus d’un an, Benoît hante mes rêves et me dit qu’il a froid.
À Madagascar, où ma mère a grandi, c’est le signe que le retournement des morts doit avoir lieu. Il faut sortir le cadavre de son tombeau et procéder à une série de rites afin de faire fuir ce qui n’est pas mort avec lui. Pour éviter que la malédiction s’abatte, que l’histoire se répète, pour rompre le charme. |
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