Titre : | Commentaires : 1521-1576 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Blaise de Monluc ; Paul Courteault, Annotateur ; Jean Giono (1895-1970) , Préfacier, etc. | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 1971 | Collection : | Bibliothèque de la Pléiade num. 174 | Importance : | 1591 p. | Format : | 18 cm. | Note générale : | Index. | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Littérature française | Index. décimale : | 848.03 Journaux intimes, souvenirs, mémoires | Résumé : | Écrits à l'âge où les maréchaux abandonnent les champs de bataille pour enfiler les pantoufles de la retraite, ces Commentaires sont à la fois une chronique des guerres de religion et la justification du plus étonnant maréchal de France. Car à l'origine des Commentaires se trouve un règlement de comptes. Monluc est défiguré par une arquebusade alors que le dernier acte de la guerre civile se termine et que ses ennemis, les huguenots, relèvent la tête. Charles IX choisit ce moment pour supprimer sa lieutenance et pour faire vérifier la gestion des deniers qui lui ont été confiés. Le Gascon rugit sous l'outrage et dicte une longue justification de ses actes. De 1571 à 1577, il remaniera sans cesse ce premier texte. C'est la version définitive que nous publions dans notre édition.
Jean Giono, dans la préface, trace lui aussi un original et intéressant portrait de Monluc. |
Commentaires : 1521-1576 [texte imprimé] / Blaise de Monluc ; Paul Courteault, Annotateur ; Jean Giono (1895-1970) , Préfacier, etc. . - Gallimard, 1971 . - 1591 p. ; 18 cm.. - ( Bibliothèque de la Pléiade; 174) . Index. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Littérature française | Index. décimale : | 848.03 Journaux intimes, souvenirs, mémoires | Résumé : | Écrits à l'âge où les maréchaux abandonnent les champs de bataille pour enfiler les pantoufles de la retraite, ces Commentaires sont à la fois une chronique des guerres de religion et la justification du plus étonnant maréchal de France. Car à l'origine des Commentaires se trouve un règlement de comptes. Monluc est défiguré par une arquebusade alors que le dernier acte de la guerre civile se termine et que ses ennemis, les huguenots, relèvent la tête. Charles IX choisit ce moment pour supprimer sa lieutenance et pour faire vérifier la gestion des deniers qui lui ont été confiés. Le Gascon rugit sous l'outrage et dicte une longue justification de ses actes. De 1571 à 1577, il remaniera sans cesse ce premier texte. C'est la version définitive que nous publions dans notre édition.
Jean Giono, dans la préface, trace lui aussi un original et intéressant portrait de Monluc. |
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