Titre : | Propos | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Alain ; Maurice Savin, Annotateur ; André Maurois, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 1958 | Collection : | Bibliothèque de la Pléiade num. 116 | Importance : | 1366 p. | Format : | 18 cm. | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Philosophie française | Index. décimale : | 194 Philosophie occidentale moderne et philosophies non orientales : France | Résumé : | «J'ai répudié toute règle ; sinon celle que j'aimais à peu près tout, qu'il fallait donner de tout, ne pas oublier un de ces Alain qui sont Alain. Ni le jeune, qui est déjà l'admirable, vif, agressif, pensif, le feutre sur l'oreille, le cœur à tout, ni l'autre, dans la lumière de la plus belle lumière, comme il n'y avait pas eu de lumière depuis Platon. Ni les livres préférés, ni les oiseaux, ni les astres, ni les boutades et presque les manies, dont il souriait, cet entêtement qui ne faisait qu'un avec son génie... Je confesse que j'inclinais à cet Alain que j'avais suivi sur les sentiers de la Bretagne et des dieux...»
Maurice Savin. |
Propos [texte imprimé] / Alain ; Maurice Savin, Annotateur ; André Maurois, Préfacier, etc. . - Gallimard, 1958 . - 1366 p. ; 18 cm.. - ( Bibliothèque de la Pléiade; 116) . Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Philosophie française | Index. décimale : | 194 Philosophie occidentale moderne et philosophies non orientales : France | Résumé : | «J'ai répudié toute règle ; sinon celle que j'aimais à peu près tout, qu'il fallait donner de tout, ne pas oublier un de ces Alain qui sont Alain. Ni le jeune, qui est déjà l'admirable, vif, agressif, pensif, le feutre sur l'oreille, le cœur à tout, ni l'autre, dans la lumière de la plus belle lumière, comme il n'y avait pas eu de lumière depuis Platon. Ni les livres préférés, ni les oiseaux, ni les astres, ni les boutades et presque les manies, dont il souriait, cet entêtement qui ne faisait qu'un avec son génie... Je confesse que j'inclinais à cet Alain que j'avais suivi sur les sentiers de la Bretagne et des dieux...»
Maurice Savin. |
|