Titre : | Roman policier | Titre original : | Detektívtörténet | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Imre Kertész, Auteur ; Natalia Zaremba-Huzsvai, Traducteur ; Charles Zaremba, Traducteur | Editeur : | Arles : Actes Sud | Année de publication : | 2008 | Collection : | Babel num. 918 | Importance : | 117 p. | Présentation : | couv. ill. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7427-7787-7 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Hongrois (hun) | Index. décimale : | RP Roman policier | Résumé : | Un renversement politique, quelque part en Amérique latine. La dictature qui s’établit offre au simple policier Antonio Martens l’occasion inespérée d’intégrer l’armée. Il y rencontre Diaz, son supérieur aussi charismatique que louche, et l’acolyte de celui-ci, le sadique Rodriguez. Commencent alors des filatures au cours desquelles sont fichés un grand nombre de citoyens irréprochables.
Peu après, Rodriguez installe dans leur bureau un instrument de torture et s’apprête à en faire usage. Martens fait face à ses propres sentiments – trop faibles pour une véritable remise en cause, trop forts pour l’insouciance pure et simple. Jusqu’où fermera-t-il les yeux ? |
Roman policier = Detektívtörténet [texte imprimé] / Imre Kertész, Auteur ; Natalia Zaremba-Huzsvai, Traducteur ; Charles Zaremba, Traducteur . - Actes Sud, 2008 . - 117 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Babel; 918) . ISBN : 978-2-7427-7787-7 Langues : Français ( fre) Langues originales : Hongrois ( hun) Index. décimale : | RP Roman policier | Résumé : | Un renversement politique, quelque part en Amérique latine. La dictature qui s’établit offre au simple policier Antonio Martens l’occasion inespérée d’intégrer l’armée. Il y rencontre Diaz, son supérieur aussi charismatique que louche, et l’acolyte de celui-ci, le sadique Rodriguez. Commencent alors des filatures au cours desquelles sont fichés un grand nombre de citoyens irréprochables.
Peu après, Rodriguez installe dans leur bureau un instrument de torture et s’apprête à en faire usage. Martens fait face à ses propres sentiments – trop faibles pour une véritable remise en cause, trop forts pour l’insouciance pure et simple. Jusqu’où fermera-t-il les yeux ? |
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