Titre : | Eleanor Rigby | Titre original : | Eleanor Rigby | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Douglas Coupland, Auteur ; Christophe Grosdider, Traducteur | Editeur : | Vauvert : Au diable Vauvert | Année de publication : | 2007 | Importance : | 305 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84626-143-2 | Prix : | 19 € | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Index. décimale : | RE Roman étranger | Résumé : | Liz Dunn est grosse et lucide sur elle-même. Et si derrière cette morne apparence se cache un esprit acéré, elle n'attend rien de la vie, hormis une imminente opération dentaire et une quantité de films larmoyants loués pour supporter sa convalescence. Mais alors qu'elle vient d'épuiser son stock de tranquillisants et que résonne le générique de fin du dernier film, un jeune inconnu est admis à l'hôpital. Il porte une inscription sur son bracelet médical: En cas d'urgence, contactez Liz Dunn... Magnifique roman sur la solitude, Eleanor Rigby répond, avec l'inimitable ironie de Coupland, à la question posée par la célèbre chanson des Beatles. |
Eleanor Rigby = Eleanor Rigby [texte imprimé] / Douglas Coupland, Auteur ; Christophe Grosdider, Traducteur . - Vauvert : Au diable Vauvert, 2007 . - 305 p. : couv. ill. en coul. ; 20 cm. ISBN : 978-2-84626-143-2 : 19 € Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Index. décimale : | RE Roman étranger | Résumé : | Liz Dunn est grosse et lucide sur elle-même. Et si derrière cette morne apparence se cache un esprit acéré, elle n'attend rien de la vie, hormis une imminente opération dentaire et une quantité de films larmoyants loués pour supporter sa convalescence. Mais alors qu'elle vient d'épuiser son stock de tranquillisants et que résonne le générique de fin du dernier film, un jeune inconnu est admis à l'hôpital. Il porte une inscription sur son bracelet médical: En cas d'urgence, contactez Liz Dunn... Magnifique roman sur la solitude, Eleanor Rigby répond, avec l'inimitable ironie de Coupland, à la question posée par la célèbre chanson des Beatles. |
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